C’est aujourd’hui un scénario qui se profile compte tenu du contexte sanitaire international. La France et l’Italie restent encore sensiblement épargnées par la remontée des cas de malades déclarés mais les nouveaux variants anglais, brésiliens… sont désormais présents sur le territoire et sont reconnus comme plus violents et mortels. Devant la situation chacun s’attend à une prise de parole à la suite du prochain Conseil de Défense du début de la semaine annonçant un reconfinement assez rapide d’une durée minimale de trois semaines voire six semaines. Les professionnels de la DA doivent déjà de préparer à une telle situation. Est-ce un mal pour un bien ? Si tel était le cas, cela signifierait une anticipation du Gouvernement afin de préserver une reprise plus rapide mi mars et début mai dans un contexte de montée en puissance de la vaccination de masse qui pourrait déboucher sur une maitrise de la situation épidémique plus forte pour la fin du semestre. Une tentative afin de mieux contrôler (enfin) la situation sur le second trimestre et chercher un redémarrage et un rebond de la croissance plus forts dès fin mars/avril.
